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Abbaye du Mont Saint-Michel  


Le Mont Saint-Michel accueille chaque année plus 3 millions de visiteurs, ce qui en fait la première destination touristique en France après Paris. Ce site unique, témoignage flamboyant de l'architecture médiévale, a été inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1979.

Le Mont Saint-Michel est vraiment en Normandie, tant au niveau des cartes géographiques qu'administratives, même s'il est visible de la côte bretonne depuis Saint-Malo ou Cancale et que sa silhouette hiératique marque fortement le paysage de l'Est de la côte bretonne.

https://artsandculture.google.com/story/le-mont-saint-michel-cles-d-architecture-archives-de-la-manche

 

Château De Caen


La ville de Caen est née de la volonté de Guillaume, duc de Normandie, à la veille de la conquête de l’Angleterre. À Caen, le duc a fait construire deux abbayes et son puissant château. La forteresse témoigne encore de tous les siècles d’une histoire commencée dans la grande épopée de Guillaume le Conquérant.

Construit vers 1060 par Guillaume le Conquérant, le château ducal est devenu une résidence favorite des ducs de Normandie, rois d’Angleterre qui lui ont donné l’ampleur d’une des plus vastes enceintes fortifiées d’Europe.

 

À travers les siècles, le château de Caen s’est transformé en forteresse royale puis en caserne de conscrits : chaque période de son histoire a laissé autant d’indices semés au fil du temps. Ce passé prestigieux se laisse découvrir depuis les remparts restaurés dominant le palais des ducs de Normandie et les vestiges du donjon ; il se révèle dans la visite des monuments abrités derrière les murailles.

https://musee-de-normandie.caen.fr/le-chateau-decaenConstruitversparGuillaume,vastesenceintesortifid'Europe

 

 

L'Abbaye aux Hommes et l'Abbaye aux Dames de Caen

Vers 1050, Guillaume, Duc de Normandie, épouse Mathilde de Flandres. Mais en raison d’un degré de parenté trop élevé, le mariage est désapprouvé par le pape Léon IX. Plus tard, le successeur de ce dernier, le pape Nicolas II, accorde son pardon au couple, à condition que ces derniers fondent quatre hôpitaux et deux abbayes.

Vers 1060 Mathilde de Flandres choisira alors de bâtir l’Abbaye aux Dames de Caen, dédiée à la Sainte Trinité, et son époux fondera l’Abbaye aux Hommes, dédiée à Saint Etienne. C’est à Lanfranc, moine bénédictin bâtisseur du Bec que Guillaume confie la construction des deux abbayes. L’église abbatiale Saint-Étienne, bien que remaniée à l’époque gothique, est un exemple remarquable d’architecture romane normande.


Elle a inspiré beaucoup d’églises anglaises construites après la Conquête de l’Angleterre en 1066.

Guillaume fera le vœu de se faire inhumer dans l’Abbaye aux Hommes, et celui-ci sera respecté, puisqu’il y repose depuis sa mort en 1087.

 

Les bâtiments conventuels transformés en lycée au XIXe siècle abritent depuis les années 1960 l'hôtel de ville. L'abbaye offre un très bel ensemble architectural  l'impact de l'église Saint-Étienne de Caen est essentiel sur l'histoire de l'art en Normandie et en Angleterre. L'église est classée au titre des monuments historiques sur la liste de 1840, le cloître et les bâtiments conventuels en 1911 et les autres constructions inscrites en 1927 et 1928.

https://www.abbayes-normandie.com/abbaye/abbaye-aux-hommes-caen/

https://www.calvados-tourisme.com/offre/abbaye-aux-damestextConstruiteversl'abbayegliseabbatiale

 

La Cathédrale Notre-Dame de Rouen



La cathédrale de Rouen est un monument religieux construit en 1030 pour la partie romane et 1145 pour la partie gothique. Elle fut achevée en 1506.

Asymétrique, la cathédrale rouennaise est la plus haute de France depuis la reconstruction de sa flèche en fonte en 1876, pour atteindre 151 mètres de haut pour une longueur totale de 144 mètres. Le bâtiment est connu internationalement également grâce à la série de tableaux du peintre impressionniste Claude Monet qui en fit 30 représentations.

L’édifice bénéficie du classement au titre des monuments historiques depuis l’année 1862. C’est là que demeure la dépouille de Richard Cœur de Lion.

La légende dit qu’elle abritait des reliques de la Vierge Marie.

https://www.pariscityvision.com/fr/europe/france/normandie/rouenLacathdraleRouenest,historiquesdepuis'ann.

L’église Sainte Catherine de Honfleur et son clocher


La première église Sainte Catherine fut sans doute construite vers le XIIème siècle puis détruite par les troupes du Duc de Salisbury lors de l’invasion anglaise de 1419. L’église actuelle fut reconstruite à peu près au même emplacement.

L’église Sainte Catherine est restaurée en 1879 par monsieur Naples, architecte, puis sous la direction de Monsieur Viollet Le Duc. La restauration s’achève en 1887. L’église Sainte Catherine est classée monument historique le 3 mai 1870.

Arthème PANNIER en donne la description suivante en 1868 : « L’église Sainte Catherine est un des types les plus curieux qui existent du style ogival fleuri ou flamboyant appliqué à un édifice religieux d’une certaine importance, entièrement construit en bois. »

https://www.ville-honfleur.com/decouvrir-honfleur/honfleur-et-son-patrimoine/leglise-sainte-catherine-et-son-clocher/

 

Jardin des Plantes de Rouen



La serre centrale, qui domine la perspective depuis son élévation, porte avec légèreté ses presque 170 ans. Inscrite à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, elle abrite des végétaux de milieu aride, des plantes utilitaires méditerranéennes ou encore des plantes carnivores. Dans les volières, les perruches, perroquets, cailles de Chine, faisans dorés et autres oiseaux étonnants rivalisent de couleurs avec les fleurs alentour, tandis qu’en liberté, les paons, canards, tortues d’eau se promènent au bord du petit canal.

La vocation culturelle et éducative du parc est en accord avec le goût de la détente des visiteurs. Plusieurs fois remanié pour répondre aux demandes de loisirs du public, le parc reste toutefois fidèle à sa mission première de jardin botanique avec ses collections vivantes et ses banques de graines.

https://rouen.fr/jardindesplantes

 

 Biotropica, les jardins animaliers



Les jardins animaliers sont situés dans l'Eure, dans la base de loisirs de Léry-Poses, proche de la ville de Val-de-Reuil. Il comprend une énorme serre tropicale de 5 000 m2, ainsi qu'un parc extérieur, pour une superficie totale de 10 hectares.

Le parc accueille environ 200 000 visiteurs par an.

La serre zoologique Biotropica a ouvert ses portes le 7 septembre 2012. Elle change de nom en 2015 pour "Les jardins animaliers Biotropica" et accueille dans les années qui suivent de plus en plus de nouvelles espèces. De nouveaux espaces se développent : un jardin d'Asie habité par des pandas roux, des loutres, des grues de Mandchourie et des carpes koi (2014), une crique dans laquelle on retrouve des manchots de Humboldt, des cygnes à cou noir, des érismatures rousses et des ragondins (2015), une brousse africaine habitée par des suricates, des guépards, des fennecs, des touraos, des calaos, des dik dik de kirk et des mangoustes naines (2016). En 2017, la ferme des enfants est réorganisée pour mettre à l'honneur des animaux plus atypiques tel que le cochon laineux et le pigeon hirondelle de Nuremberg. Durant l'année 2018, c'est le nocturama qui est réaménagé ; on y retrouve notamment le Dragon de komodo. Enfin, en 2019, la nurserie des Gavials du Gange est créée et l'enclos de l'anaconda vert est remis en état.

https://www.biotropica.fr/

 

Palais Bénédictine de Fécamp



En 1863, Alexandre Le Grand, fécampois, négociant en vin, aurait découvert par hasard dans sa bibliothèque la composition d’un élixir perdue à la Révolution. Intrigué, il décida de la déchiffrer et arriva à la reconstituer au bout d’un an d’efforts. L’élixir devint alors une liqueur qu’il nomma Bénédictine en hommage au moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli. Il fit construire le somptueux Palais Bénédictine pour offrir un écrin prestigieux à la distillerie de la liqueur (toujours en fonctionnement de nos jours) et à sa collection d’œuvres d’art.

https://www.benedictinedom.com/fr/fr/flamboyant-palais/about-us/

 

 

 Église catholique Sainte-Jeanne-d'Arc



 

L'église a été commencée en 1911, à l'initiative de l'abbé Hector Langlois (1852-1929), qui mit l'édifice sous le vocable de Jeanne d'Arc afin de rappeler sa capture par les Anglo-Bourguignons en 1430, que l'histoire situe à proximité. Confié à l'architecte Henri Bernard (1849-1929), le chantier est interrompu par la guerre. Poursuivi très lentement, faute de crédits, entre les deux guerres, l'église est finalement achevée par l'architecte Henri Colboc (1917-1983), qui construit le choeur et les bas-côtés entre 1958 et 1960.

Le vaste monument qui s'élève depuis 1979 sur la place du Vieux Marché où elle a été brûlée répond à une double reconnaissance : c'est à la fois une église pour honorer sainte Jeanne d'Arc et un mémorial civil pour commémorer l'héroïne célébrée par la France le deuxième dimanche du mois de mai. A Rouen, les fêtes Jeanne d'Arc ont lieu le dimanche le plus proche du 30 mai. Son architecte, Louis Arretche, a voulu renouer avec la tradition de beaucoup de vieilles églises normandes en donnant à l'édifice la forme d'un bateau renversé : il a pour cela retrouvé les principes de la construction navale traditionnelle et la structure en bois reste apparente au-dessus de la nef.

L'extérieur, résolument moderne, évoque la mer avec une couverture d'écailles en ardoises ou en cuivre. A l'intérieur, vous pourrez admirer les remarquables vitraux de l'ancienne église Saint Vincent datant de la Renaissance. Réalisés par les plus grands maîtres verriers de l'époque, ceux-ci sont une illustration de la foi des chrétiens du XVIe siècle : outre des scènes tirées de la Bible, on y voit représentées des légendes ayant trait par exemple à Saint Pierre, Saint Antoine de Padoue…

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Sainte-Jeanne-d%27Arc_de_Rouen

 

 

 

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